La compagnie d'eau municipale de Xàbia, Amjasa, a installé des bouches d'incendie dans les anses granadella et Portixol pour améliorer la capacité de réponse à un incendie. C'est l'une des actions qui ont marqué les plans d'autoprotection récemment approuvés des deux criques, des documents pionniers qui définissent les protocoles pour agir en cas d'urgence.
Les deux anses se trouvent dans des zones entourées de masse forestière et, ces dernières années, la Ayuntamiento Il a pris des mesures pour améliorer sa sécurité, comme la réglementation de l'accès aux véhicules et la limitation des aires de stationnement.
Ces bouches d'incendie sont intégrées au réseau municipal, un système préparé pour fournir un débit adéquat aux pompiers en cas d'incendie. En ce sens, depuis Amjasa, ils renouvellent constamment les points d'accrochage pour lesquels ils bénéficient de la collaboration du Consortium provincial et du groupe local de protection civile lorsqu'il s'agit d'examiner et de détecter tout point défectueux.
Cette année, profitant des travaux d'amélioration du réseau de canalisations, plus de 50 bornes-fontaines (plus sujettes aux problèmes d'exposition) ont été remplacées par de nouveaux regards (souterrains).
La compagnie des eaux fait enregistrer l'ensemble de ce système dans une application informatique qu'elle a mise à la disposition des pompiers. Xàbia dispose également d'autres ressources d'extinction municipales, telles que les grands gicleurs sideinfo que le Consistoire a acquis pour pouvoir faire des lignes de défense en profitant des points d'eau disponibles et protéger les zones particulièrement sensibles.
Dans les criques ? Dans les criques entourées par la mer ?
Comment ça se passe à la montagne ? En attendant la prochaine canicule pour qu'un autre espace vert prenne feu, soyez malins ? Regardez, avec tout ce qu'il a plu, avec tout le vert qu'il est, et le parc naturel n'est même plus ce qu'il était, tout comme le Montgó n'est plus ce qu'il était au début des années 80, peu importe la quantité de mousse qui le recouvre.
Vous êtes immoraux, dirigeants (pardonnez la redondance).
Ah, mais… il n'y en avait pas ?
Espérons qu'ils ne se garent pas ou ne campent pas dessus...